Catherine Dorion, Les Têtes brûlées, Lux 2023, 368 pages
J’ose vous suggérer de lire ce gentil brûlot en mettant des gants de protection.
« Je quittais le terrain de la bataille sans avoir l’âme en peine. Parmi les choses précieuses que j’avais apprises empiriquement pendant ces quatre années, il y avait celle-ci : le Québec est rempli à ras bord de cœurs irrévérencieux et de têtes brûlées magnifiques. Cette force affective est là, elle attend le signal […]. Ça, je le sais, je l’ai vu. »
Je vous invite également à consulter : Les têtes brûlées
et aussi à lire la critique littéraire d’Odile TYremblay du journal Le Devoir
Catherine Dorion, cet oiseau-lyre
Vive les belles feuilles,